*Kuusi : l’épicéa, en finnois ; en anglais, the spruce.
« En argot les hommes appellent les oreilles des feuilles
c’est dire comme ils sentent que les arbres connaissent la musique
mais la langue verte des arbres est un argot bien plus ancien
Qui peut savoir ce qu’ils disent lorsqu’ils parlent des humains » […]
Jacques Prévert (« Histoires » – 1946)
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Clare Hammond – piano
Le compositeur finlandais Jean Sibélius, amoureux inconditionnel de la nature qui lui est également porte ouverte sur la métaphysique, écrit en 1914 cinq pièces pour piano dédiées à quelques arbres qui l’ont inspiré. « Kuusi », mouvement léger de valse nocturne, est la cinquième et dernière de ce recueil, « Les Arbres » – Opus 75.
De braises et d'ombre... 
Merci pour cette valse si apaisante en ce dimanche matin, et pour tous vos partages si harmonieux !
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Merci pour cette musique douce et tendre ! Et le poème de Prévert et un vrai régal !
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« est » un vrai régal, devrais-je dire 🙂
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Pas d’inquiétude ! J’avais bien compris qu’il s’agissait d’un lapsus calami (ou plutôt lapsus clavieri ; chacun sachant pertinemment que le clavier était largement utilisé à Rome pour transcrire les discours des sénateurs). Ainsi donc eut-il fallu que vous écrivissiez dans votre correctif : » devrais-je écrire ». A l’oreille, le lapsus ne se serait pas fait remarquer. 🙂🙂🙂🙂🙂
Signé Maître Cappelo !!!
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« lapsus clavieri » je retiendrai ce terme car il me resservira sans nul doute 🙂
Merci Maître de cette leçon 😀
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