Jean Baylor accompagnée au piano par Emmet Cohen :
‘Hallelujah !’
Et aussi sur ‘Perles d’Orphée‘
avec
Laurence Equilbey et l’ensemble Accentus :
Dietrich Buxtehude :
Jean Baylor accompagnée au piano par Emmet Cohen :
‘Hallelujah !’
Et aussi sur ‘Perles d’Orphée‘
avec
Laurence Equilbey et l’ensemble Accentus :
Dietrich Buxtehude :
En dehors de l’enfance et de l’oubli, il n’y a que la grâce qui puisse vous consoler d’exister ou qui puisse vous donner la plénitude, le ciel sur la terre et dans le cœur.
Eugène Ionesco – Journal en miettes (1967)
Facétieuse sagesse de l'âge : Un vieux monsieur, ostensiblement agacé de ne pouvoir retrouver son chemin dans les quartiers de sa jeunesse transformés par les reconstructions récentes, avise un passant, au moins aussi âgé que lui, mais qui semble parfaitement à l'aise dans ce décor moderne, et lui demande sa route : – Pourriez-vous m'indiquer, je vous prie, la "Place de l'Enfance"? – Bien sûr ! répond gracieusement le passant. Là ! dit-il dans un généreux sourire en pointant son index sur le sein gauche de son interlocuteur.
Ballade composée en 1953 par Johnny Richards
Paroles de Carolyn Leigh
Répertoire de Frank Sinatra
Emmet Cohen – Piano
Lucy Yeghiazaryan – Vocals
Benny Benack III – Trumpet
Mark Lewandowski – Bass
Joe Farnsworth – Drums
Les contes de fées peuvent devenir réalité
Et cela pourrait aussi t’arriver
Si tu gardes ton âme d’enfant.
Tu trouveras bien difficile
De garder l’esprit étroit
Avec le cœur d’un d’enfant.
Ainsi tu peux toujours viser la lune
Avoir d’impossibles projets,
Tu peux même rire quand tes rêves
En poussière sont balayés.
La vie est plus passionnante chaque jour qui s’enfuit,
L’amour est dans ton cœur, ou il est sur le chemin.
Ne sais-tu pas que ça vaut
Tous les trésors de la terre
De garder son âme d’enfant ?
Pour aussi riche que tu sois
Il est bien meilleur, et de loin
De rester jeune dans ton cœur !
Et si tu vis jusqu’à cent ans
Regarde tous les cadeaux de la vie,
Et surtout le plus beau d’entre eux :
Avoir reçu le privilège
De préserver ton cœur d’enfant !
Le jazz est selon moi une expression des idéaux les plus élevés. Par conséquent, il contient de la fraternité. Et je crois qu’avec de la fraternité, il n’y aurait pas de pauvreté, il n’y aurait pas de guerres.
John Coltrane (saxophoniste – 1926-1967)
(Entretien avec Jean Clouzet et Michel Delorme, 1963)
Hé ! Les amis ! Un bœuf chez Emmet, ça vous dit ?
Oui, un « bœuf » quoi ! Une « jam session », si vous préférez : chacun vient avec son instrument, sa voix et son talent et ensemble on fait de la musique. La musique qu’on aime… à condition que ce soit du jazz.
Inutiles vos partitions ! On improvise, on se devine, on se comprend, on joue. Ensemble !
Votre passeport, l’amour de la musique : venez comme vous êtes, soyez qui vous êtes. Votre couleur de peau, et alors ? Vos origines, votre religion, et alors ? Faire le bœuf c’est partager la musique, le plaisir d’être ensemble, la complicité d’un instant, le bonheur d’être, tout simplement.
Faire le bœuf c’est croire avec la naïveté d’un enfant que la vie ensemble, chaque jour, pourrait si facilement être meilleure…
… même quand on a le cœur « bluesy » et… des « cailloux dans son lit » !
« Rocks in my bed »
Emmet Cohen – Piano
Lucy Yeghiazaryan – Voix
Grant Stewart – Saxophone Ténor
Kyle Poole – Batterie
Yasushi Nakamura – Contrebasse
Mon cœur est lourd comme du plomb
Parce que le blues m’a envahie
J’ai des cailloux dans mon lit.
Toutes les personnes que je vois
Pourquoi s’en prennent-elles à moi, pauvre de moi
Et mettent des pierres dans mon lit ?
Toute la nuit je pleure !
Mais comment peut-on dormir
Avec des cailloux plein son lit ?
Il n’y a que deux types de personnes
Que je ne comprends vraiment pas
C’est une femme hypocrite
C’est un homme au visage fermé.
Elle a emmené mon homme
Et je ne vais pas le ramener
Elle est plus fourbe qu’un serpent
Le long des rails sous un wagon.
J’ai des cailloux plein mon lit !
Sous aimé, suralimenté
Mon homme s’en est allé et à sa place
Plein de cailloux dans mon lit.
écrite en 1941
Nosce te Ipsum (Socrate)
Attento si fermò com’uom ch’ascolta...(Inferno Canto IX - La Divina Commedia)
Quelques larmes perlent sur l'âme d'Orphée : Musique - Poésie - Peinture - Sculpture - Philosophie
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entre ombre et lumière… entre rêve et réalité… " Eclaire ce que tu aimes sans toucher à son ombre "
"Je ne fais pas partie du mouvement de la rue, puisque je le contemple." Virginia Woolf
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il disinganno prima dell'illusione
Des enquêtes à pas de loup pour apprendre sur-tout...
Carnet d'impressions
Moments de vie, fragments de textes et quelques notes...
Car le poète est un four à brûler le réel. De toutes les émotions brutes qu’il reçoit, il sort parfois un léger diamant d’une eau et d’un éclat incomparables. Voilà toute une vie comprimée dans quelques images et quelques phrases. Pierre Reverdy
Vous devriez savoir que je laisse toujours mes yeux dans les arbres...Jusqu'à ce que mes seins s'ennuient...
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une plume troubadour et lunaire qui chante la vie, l’âme, l’amour et l’infini…
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