
Der Wanderer an den Mond
Benjamin Appl (baryton) chante Schubert :
« Der Wanderer an den Mond » D.870
Au piano : James Baillieu
Le voyageur à la lune
Moi sur la terre, toi dans le ciel,
nous suivons notre route d’un pas vif ;
moi grave et troublé, toi douce et pure,
quelle peut donc être cette différence ?
Étranger, je vais de pays en pays,
sans patrie, inconnu de tous ;
par monts et par vaux, par forêts et prairies,
mais nulle part, hélas, je ne suis chez moi.
Toi, en revanche, tu sillonnes le monde
du berceau du couchant au tombeau du levant,
tu flottes au firmament d’innombrables pays,
et tu es pourtant chez toi là où tu es.
Le ciel, qui s’étend à l’infini,
est ton foyer chéri :
heureux celui qui, quel que soit son but,
foule toujours le sol de sa patrie !
Un beau moment pour ouvrir mon dimanche…
Merci Lelius…
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Moment lunaire, cependant…
Merci à toi et bon dimanche !
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Justement cela me maintient là où je veux rester…
Bon dimanche Lelius
Je t embrasse
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