Joyce DiDonato chante depuis le piano de son salon une des plus belles mélodies françaises, « À Chloris »
Mais j’entends, que tu m’aimes bien,
Je ne crois point que les rois mêmes
Aient un bonheur pareil au mien.
De venir changer ma fortune
A la félicité des cieux !
Ne touche point ma fantaisie
Au prix des grâces de tes yeux.
Une réflexion sur “À la maison… Tout simplement !”