
Derrière les yeux, le mystère
D’où infiniment advient la beauté
D’où coule la source du songe
Bruissant entre rochers et feuillages
Chantant en cascade
…………..les saisons renouvelées
Chantant les instants
…………..de la vraie vie offerte
Matin du martinet disparu
Midi de la mésange retrouvée
Longues heures à travers le jour
Un seul battement de cils et mille papillons
…………..prêts à s’enfouir parmi les pétales
…………..prêts à durer tant que dure la brise
Jusqu’à la passion du couchant
…………..où les âmes clameront alliance
Jusqu’à l’immémorial étang
…………..où rayon de lune et onde d’automne
Referont un

« A l’orient de tout » – « Le long d’un amour »
une belle voix, en accord avec cette poésie (et une diction impeccable dont suis bien incapable)
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Merci d’autant de compliments, mais seul les mérite le poète pétrisseur de beauté infinie.
Comme la poésie est facile à servir lorsqu’elle atteint à ce paroxysme !
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