Là, chère Minha, vous auriez le choix entre le moustique gris, le velu, la patte-blanche, le nain, le sonneur de fanfares, le petit fifre, l’urtiquis, l’arlequin, le grand nègre, le roux des bois, ou plutôt, tous vous choisiraient pour cible et vous reviendriez ici méconnaissable !
Jules Verne – La Jangada (roman 1881)

Mel Bonis (1858-1937)
« Le moustique » – Op. 66
Evelyne Grandy (piano)

Une autre merveille!
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La nature en est pleine… la musique aussi !
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La musique est intrinsèque au moustique, on la sent bien qui se débat dans tous les sens pour essayer de sortir de son corps.
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Hélas, ce n’est pas la musique que la bestiole fait entrer dans le nôtre…
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C’est bien de la musique de Mel Bonis que j’essayais de parler…
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Il y a certes une piqûre finale mais je ne trouve pas que ce soit le plus réussi.
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Désolé pour mon incompréhension !
Mais cette confusion ne pourrait-elle pas être une manière involontaire d’hommage au mimétisme réussi de la composition de Mel Bonis ?
Quant à la piqûre finale (à laquelle ma réponse ne se référait pas), je comprends votre réserve, mais, pour ma part, la miniature me donne dans sa globalité le plaisir que j’en attends. Faut-il vraiment en demander plus ?
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