Il n’y a pas de porte
ni de gardien dans la forêt
bien qu’elle soit le Temple.
Rien à ouvrir ou à fermer.
Chacun trouve en elle son chemin.
Sa lumière dans les bouleaux.
Puis les feuillages retombent
et gardent le secret.

in Ainsi ruse le mystère (Corti-1983)

Pure merveille…
Merci Lelius…
Beau Dimanche à toi.
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La lumière que relaie la poésie de Jean Mambrino prend sa source dans des sphères qui me sont tellement étrangères, et pourtant, inexplicablement, chacun de ses rayons en m’atteignant touche sa cible en plein coeur…
Bon dimanche !
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Merci, Lelius 🙏 d’avoir publié ces vers d’un poète sous-estimé des lecteurs.
En 2015 j’ai traduit son recueil « La Pénombre de l’or ».
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Jean Mambrino est-il sous-estimé des lecteurs ? J’aurais plutôt tendance à penser qu’il est mal connu. Trop de lumière éblouit et parfois aveugle. C’est peut-être ce qui pourrait expliquer en partie la relative confidentialité de ses publications. Evidemment il n’est pas le seul dans cette situation.
Notre monde d’aujourd’hui n’est pas très ouvert au spirituel…
Merci, Marcello, pour votre commentaire !
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Vous avez raison, Lelius. Mambrino est peu connu. J’ai mal dit ça. Merci pour la clarification.🙏
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Aucune intention de ma part de vous reprendre ou de vous contredire, cher Marcello ! Ce n’était qu’un avis personnel, en toute modestie. J’espère que vous l’aurez reçu ainsi. 🙏
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Oui, Laelius, pas de problème. J’ai très bien compris ce que vous vouliez dire. Merci de votre sensibilité
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Merci pour ce très beau texte, si simple en apparence. Il nous redonne l’enchantement et le mystère des forêts.
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Merci d’avoir apprécié mon choix !
Il y a tellement de merveilles, simples et si profondes, dans la poésie de Jean Mambrino… et toujours, bien sûr, inspirées par son intimité avec le mystère, et pas seulement celui des forêts.
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