Ô vieux piano d’ébène, image de ma vie,
Comme toi du bonheur ma pauvre âme est ravie,
Il te manque une artiste, il me faut L’Idéal…
Émile Nelligan (1879-1941) – extrait du poème « Vieux piano »
Non, non ! Nous ne nous laisserons pas aller, un lundi matin, sur les arpèges nostalgiques de la poésie de Nelligan. Nous commencerons notre semaine par une déclaration d’amour, souriante, fraîche, tonique… et lumineuse des sourires qui en habilleront les jours. Une déclaration d’amour au plus merveilleux des instruments de musique : le piano.
Et pour la lui faire offrons-lui l’Idéal !
comme le prouve, en l’accompagnant depuis son clavier, Antonio Pappano — que l’on voit bien plus souvent diriger avec le succès que l’on sait les grands opéras — il est bien naturel que tous les publics se fédèrent autour de cette bonne humeur que seul le pur talent sait porter à son paroxysme.
Et ce talent, Irving Berlin n’en était pas privé qui composa, entre autres de ses mélodies devenues célèbres, cet air joyeux pour la comédie musicale « Easter Parade » en 1948, interprétée par Judy Garland et Fred Astaire.
Il se pourrait bien que cet air entête notre semaine… Ah ! comme elle devrait être bonne !!!
I love a piano, I love a piano.
I love to hear somebody play upon a piano, a grand piano.
It simply carries me away.
I know a fine way to treat a Steinway.
I love to run my fingers over the keys, the ivories.
And with the pedal I love to meddle.
When Padarewski comes this way.
I’m so delighted if I’m invited to hear a long haired genius play.
So you can keep your fiddle and your bow.
Give me a p-i-a-n-o o o.
I love to stop right beside an upright,
or a high toned baby grand.
I love to stop right beside an upright,
or a high toned baby grand.
merci vais tenter d’y puiser humeur
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Bonne ! évidemment !
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Merci pour le partage de cette joie musicale !
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… Qui sera, je le souhaite, un modèle pour votre semaine !
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