Fallait-il, comme le prétendait jadis mon père, que Dieu fût de bonne humeur lorsqu’il créa l’Italie.
Tenez, par exemple : Sur la route de Gallipoli une Tarentule ou pire, une Veuve noire, vous a mordu. Le poison rend vos chances de survie bien ténues… Mais rien n’est vraiment perdu : Engagez-vous jusqu’à la transe dans une danse rituelle effrénée, la « tarentelle », et peut-être réussirez-vous, en exorcisant ainsi la mélancolie qui vous envahit, à convaincre, par la séduction, le mortel insecte de vous épargner.
Ah ! Vous ne savez pas danser… Eh bien, prenez une guitare canadienne, choisissez un compositeur autrichien et, en virtuose russe jouez la « pizzica » qu’il a écrite…
Si vous parvenez à imiter le modèle, l’araignée me l’a juré, vous n’aurez vraiment plus rien à craindre !
Vera Danilina interprète – quel mot serait plus juste ? -,
« Tarentella »
de Johan Kasper Mertz
(guitariste et compositeur autrichien – 1806-1856)

Oh oui il était sûrement amoureux !
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Je suppose que tu parles de Dieu… De lui je ne sais rien ou si peu.
S’il s’agit de mon père… Je confirme, il était amoureux de l’Italie.
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Toscane?
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Il avait une passion sans bornes pour Florence
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Moi aussi, comme je le comprends…
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J’ai écouté la tarentelle et, effectivement, aucune tarentule ne m’a fait de mal. Très efficace 🙂
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J’en suis heureux ! 🤓
Et je découvre avec plaisir l’effet préventif que je ne lui connaissais pas… ou presque pas 🤗
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😀 Bonne soirée à vous Lélius !
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