J’estime de l’essence de la Poésie qu’elle soit, selon les diverses natures des esprits, ou de valeur nulle ou d’importance infinie : ce qui l’assimile à Dieu même.
Rien ne vaut d’être dit en poésie que l’indicible, c’est pourquoi l’on compte beaucoup sur ce qui se passe entre les lignes.
(« Le livre de mon bord » – 1948)
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Douce poésie ! Le plus beau des arts ! Toi qui, suscitant en nous le pouvoir créateur, nous met tout proches de la divinité.
Quand on parle de l’inspiration des poètes on suppose effectivement qu’ils sont « visités » par des forces invisibles, spirituelles, difficiles à définir, et pourquoi pas divines ou angéliques 🙂
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L’esprit comme trait d’union entre le cœur du poète et le mystère…
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